Dans les favelas de Rio de Janeiro, les affrontements entre la police et des trafiquants lourdement armés éclatent n’importe quand, n’importe où : à côté d’une école, à la sortie d’une église, fauchant un nombre croissant d’habitants, victimes de balles perdues. Cette « guerre » s’est intensifiée dans une ville économiquement exsangue, plus d’un an après le faste de ses jeux Olympiques.